Messieurs, je retourne demain à Paris, pour le départ des ambassadeurs d'Espagne et de Hollande. ? demain donc. La salle se vida aussit?t. Le roi prit le bras de SaintAignan, et lui fit relire encore les vers de La Vallière. Comment les trouvestu . ditil. Sire charmants ! Ils me charment, en effet, et s'ils étaient connus Oh ! les poètes en seraient jaloux . , mais ils ne les conna?tront pas. Chapitre CLIV Après souper 183 Page 189 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III. Lui avezvous donné les miens . Oh ! Sire, elle les a dévorés. Ils étaient faibles, j'en ai peur. Ce n'est pas ce que Mlle de La Vallière en a dit. Vous croyez qu'elle les a trouvés de son go?t . J'en suis s?r, Sire Il me faudrait répondre, alors. Oh ! Sire tout de suite après souper Votre Majesté se fatiguera. Je crois que vous avez raison . l'étude après le repas est nuisible. Le travail du poète surtout . et puis, en ce moment, il y aurait préoccupation chez Mlle de La Vallière. Quelle préoccupation . , Ah ! Sire, comme chez toutes ces dames. Pourquoi . ? cause de l'accident de ce pauvre de Guiche. Ah ! mon Dieu ! estil arrivé un malheur à de Guiche . Oui, Sire, il a toute une main emportée, il a un trou à la poitrine, il se meurt. Bon Dieu ! et qui vous a dit cela . Manicamp l'a rapporté tout à l'heure chez un médecin de Fontainebleau, et le bruit s'en est répandu ici.