Pas pour moi, Sire, dit froidement d'Artagnan. Monsieur, s'écria le roi, savezvous bien ce que vous dites . Parfaitement, Sire . mais, à mes yeux, voyezvous, un homme qui se bat bien est un brave homme. Voilà mon opinion. Vous pouvez en avoir une autre . c'est naturel, vous êtes le ma?tre. , Monsieur d'Artagnan, j'ai ordonné cependant D'Artagnan interrompit le roi avec un geste respectueux. Vous m'avez ordonné d'aller chercher des renseignements sur un combat, Sire . vous les avez. M'ordonnezvous d'arrêter l'adversaire de M. de Guiche, j'obéirai . mais ne m'ordonnez point de vous le dénoncer, car, cette fois, je n'obéirai pas. Eh bien ! arrêtezle. Nommezle moi, Sire. Louis frappa du pied. Chapitre CLV Comment d'Artagnan acc191 Page 197 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III. Puis, après un instant de réflexion . Vous avez dix fois, vingt fois, cent fois raison, ditil. C'est mon avis, Sire . je suis heureux que ce soit en même temps celui de Votre Majesté., Encore un mot Qui a porté secours à de Guiche . Je l'ignore. Mais vous parlez de deux hommes Il y avait donc un témoin . Il n'y avait pas de témoin. Il y a plus M. de Guiche une fois tombé, son adversaire s'est enfui sans même lui porter secours. Le misérable ! Dame ! Sire, c'est l'effet de vos ordonnances.