Chinaunix首页 | 论坛 | 博客
  • 博客访问: 24725
  • 博文数量: 82
  • 博客积分: 0
  • 博客等级: 民兵
  • 技术积分: 830
  • 用 户 组: 普通用户
  • 注册时间: 2014-09-27 12:06
文章分类
文章存档

2015年(21)

2014年(61)

我的朋友
最近访客

分类: Windows平台

2014-10-28 09:21:57

De Guiche montra sa main mutilée et sa poitrine sanglante. Comte ! s'écria de Wardes, on m'accuse de vous avoir assassiné . parlez, je vous en conjure, dites que j'ai loyalement combattu ! C'est vrai, dit le blessé, M. de Wardes a combattu loyalement, et quiconque dirait le contraire se ferait de moi un ennemi. Eh ! monsieur, dit Manicamp, aidezmoi d'abord à transporter ce pauvre gar?on, et, après, je vous donnerai toutes les satisfactions qu'il vous plaira, ou, si vous êtes par trop pressé, faisons mieux . pansons le comte avec votre mouchoir et le mien, et, puisqu'il reste deux balles à tirer, tironsles. Merci, dit de Wardes. , Deux fois en une heure j'ai vu la mort de trop près . c'est trop laid, la mort, et je préfère vos excuses. Manicamp se mit à rire, et de Guiche aussi, malgré ses souffrances. Les deux jeunes gens voulurent le porter, mais il déclara qu'il se sentait assez fort pour marcher seul. La balle lui avait brisé l'annulaire et le petit doigt, mais avait été glisser sur une c?te sans pénétrer dans la poitrine. C'était donc plut?t la douleur que la gravité de la blessure qui avait foudroyé de Guiche. Manicamp lui passa un bras sous une épaule, de Wardes un bras sous l'autre, et ils l'amenèrent ainsi à Fontainebleau, chez le médecin qui avait assisté à son lit de mort le franciscain prédécesseur d'Aramis. Chapitre CLII Le combat 177 Page 183 Chapitre CLIII Le souper du roi Le roi s'était mis à table pendant ce temps, et la suite peu nombreuse des invités du jour avait pris place à ses c?tés après le geste habituel qui prescrivait de s'asseoir. Dès cette époque, bien que l'étiquette ne f?t pas encore réglée comme elle le fut plus tard, la Cour de France avait entièrement rompu avec les traditions de bonhomie et de patriarcale affabilité qu'on retrouvait encore chez Henri IV, et que l'esprit soup?onneux de Louis XIII avait peu à peu effacées, pour les remplacer par des habitudes fastueuses de grandeur, qu'il était désespéré de ne pouvoir atteindre. Le roi d?nait donc à une petite table séparée qui dominait, comme le bureau d'un président, les tables voisines . petite table, avonsnous dit . h?tonsnous cependant d'ajouter que cette petite table était encore la plus grande de toutes. En outre, c'était celle sur laquelle s'entassaient un plus prodigieux nombre de mets variés, poissons, gibiers, viandes domestiques, fruits, légumes et conserves. Le roi, jeune et vigoureux, grand chasseur, adonné à tous les exercices violents, avait, en outre, cette chaleur naturelle du sang, commune à tous les Bourbons, qui cuit rapidement les digestions et renouvelle les appétits., Louis XIV était un redoutable convive . il aimait à critiquer ses cuisiniers . mais, lorsqu'il leur faisait honneur, cet honneur était gigantesque. Le roi commen?ait par manger plusieurs potages, soit ensemble, dans une espèce de macédoine, soit séparément . il entremêlait ou plut?t il séparait chacun de ces potages d'un verre de vin vieux. Il mangeait vite et assez avidement. Porthos, qui dès l'abord avait par respect attendu un coup de coude de d'Artagnan, voyant le roi s'escrimer de la sorte, se retourna vers le mousquetaire, et dit à demivoix .
阅读(165) | 评论(0) | 转发(0) |
给主人留下些什么吧!~~