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2014年(53)

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分类: 网络与安全

2014-11-03 15:11:32

Hollé nous fait aborder un espace urbain en devenir, les quartiers récents périphériques de Katmandou. Cherchant à en saisir les fondements d’organisation et de développement, elle met à jour une combinaison de facteurs, où dominent les potentialités économiques des habitants?: conceptions religieuses, influences culturelles diverses des migrants, savoir-faire des ouvriers, etc. L.Coudroy de Lille élargit la perspective vers une réflexion d’ordre général sur le rapport entre l’héritage urbain et les nouvelles extensions de la ville. Enfin, le dernier échange de cette section tourne autour de la notion de ?village urbain?, dont R. de Maximy discute l’usage parfois abusif. M-C.
Saglio-Yatzimirsky s’en sert dans le cas de Mumbai pour démontrer le r?le que jouent dans l’intégration urbaine des migrants les liens réels ou imaginés avec le village.29 La seconde partie du recueil explore les liens complexes qui unissent la violence et la ville. M. Boivin livre une étude fouillée sur la violence à Karachi, dont il dresse une périodisation et une typologie. Il en analyse les incidences sur l’espace urbain, décrivant les replis communautaires et les processus de ghetto?sation, et sur la société urbaine, puisqu’elle donne lieu à de nouvelles formes de socialisations, essentiellement autour d’ONG. Enfin, il en esquisse une interprétation où les facteurs économiques, et le contexte politique jouent les plus grands r?les. Si l’article de D. G. Heuzé sur Mumbai balaye les différents types de violences de rue, il place au c?ur du phénomène la violence d’Etat. Il retrace depuis la période coloniale l’histoire d’une cité où toutes les politiques de modernisation ou d’urbanisme se sont faites contre les classes populaires, accroissant en retour les tensions, de classe puis communautaires. J-C. Depaule croise ces deux études avec ses propres réflexions sur Beyrouth, en mettant en avant l’idée de fragmentation de l’espace urbain, porteuse de violence.30 Le lien fort entre la ville et le développement économique, et plus particulièrement l’industrie, fait l’objet de la troisième partie. L’article de Loraine Kennedy analyse les conséquences spatiales des politiques régionales de développement industriel, depuis la libéralisation de 1991.
Dans le cas de Chennai et d’Hyderabad, elle démontre qu’elles ont conduit à une aggravation marquée de la polarisation des activités dans les grands centres urbains. Phénomène que C. Aza?s retrouve au Brésil, s’interrogeant sur les risques sociaux engendrés par cette situation. C’est l’échelle locale qui est privilégiée dans l’article de G. De Ponte sur Kanpur. L’auteur montre comment la désindustrialisation et le développement massif de la précarisation du travail a modifié en profondeur les espaces de la ville mais aussi sa représentation politique. Ce qui évoque en retour à P.
Hollé nous fait aborder un espace urbain en devenir, les quartiers récents périphériques de Katmandou. Cherchant à en saisir les fondements d’organisation et de développement, elle met à jour une combinaison de facteurs, où dominent les potentialités économiques des habitants?: conceptions religieuses, influences culturelles diverses des migrants, savoir-faire des ouvriers, etc. L.Coudroy de Lille élargit la perspective vers une réflexion d’ordre général sur le rapport entre l’héritage urbain et les nouvelles extensions de la ville. Enfin, le dernier échange de cette section tourne autour de la notion de ?village urbain?, dont R. de Maximy discute l’usage parfois abusif. M-C.
Saglio-Yatzimirsky s’en sert dans le cas de Mumbai pour démontrer le r?le que jouent dans l’intégration urbaine des migrants les liens réels ou imaginés avec le village.29 La seconde partie du recueil explore les liens complexes qui unissent la violence et la ville. M. Boivin livre une étude fouillée sur la violence à Karachi, dont il dresse une périodisation et une typologie. Il en analyse les incidences sur l’espace urbain, décrivant les replis communautaires et les processus de ghetto?sation, et sur la société urbaine, puisqu’elle donne lieu à de nouvelles formes de socialisations, essentiellement autour d’ONG. Enfin, il en esquisse une interprétation où les facteurs économiques, et le contexte politique jouent les plus grands r?les. Si l’article de D. G. Heuzé sur Mumbai balaye les différents types de violences de rue, il place au c?ur du phénomène la violence d’Etat. Il retrace depuis la période coloniale l’histoire d’une cité où toutes les politiques de modernisation ou d’urbanisme se sont faites contre les classes populaires, accroissant en retour les tensions, de classe puis communautaires. J-C. Depaule croise ces deux études avec ses propres réflexions sur Beyrouth, en mettant en avant l’idée de fragmentation de l’espace urbain, porteuse de violence.30 Le lien fort entre la ville et le développement économique, et plus particulièrement l’industrie, fait l’objet de la troisième partie. L’article de Loraine Kennedy analyse les conséquences spatiales des politiques régionales de développement industriel, depuis la libéralisation de 1991.
Dans le cas de Chennai et d’Hyderabad, elle démontre qu’elles ont conduit à une aggravation marquée de la polarisation des activités dans les grands centres urbains. Phénomène que C. Aza?s retrouve au Brésil, s’interrogeant sur les risques sociaux engendrés par cette situation. C’est l’échelle locale qui est privilégiée dans l’article de G. De Ponte sur Kanpur. L’auteur montre comment la désindustrialisation et le développement massif de la précarisation du travail a modifié en profondeur les espaces de la ville mais aussi sa représentation politique. Ce qui évoque en retour à P. Hollé nous fait aborder un espace urbain en devenir, les quartiers récents périphériques de Katmandou. Cherchant à en saisir les fondements d’organisation et de développement, elle met à jour une combinaison de facteurs, où dominent les potentialités économiques des habitants?: conceptions religieuses, influences culturelles diverses des migrants, savoir-faire des ouvriers, etc. L.Coudroy de Lille élargit la perspective vers une réflexion d’ordre général sur le rapport entre l’héritage urbain et les nouvelles extensions de la ville. Enfin, le dernier échange de cette section tourne autour de la notion de ?village urbain?, dont R. de Maximy discute l’usage parfois abusif. M-C.
Saglio-Yatzimirsky s’en sert dans le cas de Mumbai pour démontrer le r?le que jouent dans l’intégration urbaine des migrants les liens réels ou imaginés avec le village.29 La seconde partie du recueil explore les liens complexes qui unissent la violence et la ville. M. Boivin livre une étude fouillée sur la violence à Karachi, dont il dresse une périodisation et une typologie. Il en analyse les incidences sur l’espace urbain, décrivant les replis communautaires et les processus de ghetto?sation, et sur la société urbaine, puisqu’elle donne lieu à de nouvelles formes de socialisations, essentiellement autour d’ONG. Enfin, il en esquisse une interprétation où les facteurs économiques, et le contexte politique jouent les plus grands r?les. Si l’article de D. G. Heuzé sur Mumbai balaye les différents types de violences de rue, il place au c?ur du phénomène la violence d’Etat. Il retrace depuis la période coloniale l’histoire d’une cité où toutes les politiques de modernisation ou d’urbanisme se sont faites contre les classes populaires, accroissant en retour les tensions, de classe puis communautaires. J-C. Depaule croise ces deux études avec ses propres réflexions sur Beyrouth, en mettant en avant l’idée de fragmentation de l’espace urbain, porteuse de violence.30 Le lien fort entre la ville et le développement économique, et plus particulièrement l’industrie, fait l’objet de la troisième partie. L’article de Loraine Kennedy analyse les conséquences spatiales des politiques régionales de développement industriel, depuis la libéralisation de 1991.
Dans le cas de Chennai et d’Hyderabad, elle démontre qu’elles ont conduit à une aggravation marquée de la polarisation des activités dans les grands centres urbains. Phénomène que C. Aza?s retrouve au Brésil, s’interrogeant sur les risques sociaux engendrés par cette situation. C’est l’échelle locale qui est privilégiée dans l’article de G. De Ponte sur Kanpur. L’auteur montre comment la désindustrialisation et le développement massif de la précarisation du travail a modifié en profondeur les espaces de la ville mais aussi sa représentation politique. Ce qui évoque en retour à P.
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