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2014年(53)

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分类: 网络与安全

2014-11-03 15:09:59

tout est réuni. Ces ouvrages sont donc précieux de par leur exhaustivité mais l’on peut regretter que le genre de la collection veuille que si tout est présenté, rien n’est ni réellement analysé, ni mis en perspective si bien qu’il ne faut rien chercher d’autre dans ce type de publication que des restitutions chronologiques fidèles, mais figées.24 Colette Vallat Véronique Dupont et Djallal G. Heuzé (sous la direction de), La Ville en Asie du Sud. Analyse et mise en perspective, éditions de l’école des Hautes études en Sciences Sociales, Collection Purusartha, Paris, 2007,435 p.
25 Ce recueil d’articles s’ouvre sur un constat?: la société urbaine en Asie du Sud reste minoritaire, même si elle est productrice de villes géantes, comparables aux mégapoles mondiales.26 Ce sont d’ailleurs ces dernières qui sont l’objet des études de l’ouvrage, choix que les auteurs justifient d’une double manière. Ces très grandes villes se présentent tout d’abord comme le révélateur des mutations sociales que conna?t le sous-continent indien. L’émergence des mégapoles, ensuite, est un des traits marquants de l’urbanisation des sociétés contemporaines, ce qui facilite la démarche comparatiste. Cette dernière est en effet placée au c?ur de l’ouvrage, afin de résoudre la question de l’universalité et de la spécificité du phénomène urbain du sous-conti-nent. Si cette approche méthodologique est désormais classique, elle se traduit dans le recueil par une organisation particulière. A chaque étude de cas sur une ville d’Asie du Sud répond un court article d’un spécialiste d’une autre aire géographique, sur le mode de la discussion. 27 Les contributions, venues de divers champs disciplinaires, sont regroupées autour de trois grandes thématiques?: structure de la ville et recompositions socio-spatiales, tensions sociales et tensions urbaines, restructuration des espaces économiques.28 La première partie cherche ainsi à saisir les facteurs créateurs et organisateurs de l’espace urbain. L’étude d’A. Viguier sur les villes tamoules de la période pré-coloniale met en avant les correspondances existant entre les représentations forgées par le pouvoir politique ou religieux des villes et les formes urbaines en Inde du Sud. Correspondance que discute V. Gossaert, depuis le cas chinois, en insistant sur le nécessaire recours à des sources autres qu’?officielles?. L’article de V. Sac longchamp en cuir pas cher neuf
Dupont et d’U. Ramanathan s’attache à un autre acteur des transformations urbaines, la puissance publique, au travers de l’étude du traitement des bidonvilles à Delhi. L’analyse souligne le décalage entre les discours bien intentionnés des politiques et les réalisations, qui relèguent et marginalisent les habitants des bidonvilles. Les auteurs insistent notamment sur le r?le de plus en plus important joué par les cours de justice, qui remettent en cause le droit au logement ou au relogement de ces populations. Alors qu’à Delhi l’éradication des bidonvilles est justifiée au profit de ?l’embellissement? de la ville, H. Rivière d’Arc montre qu’à Sao Paulo cette même notion recouvre des politiques aux inflexions plus sociales, engageant une réflexion sur la circulation de certains concepts d’urbanisme. La contribution d’A.
tout est réuni. Ces ouvrages sont donc précieux de par leur exhaustivité mais l’on peut regretter que le genre de la collection veuille que si tout est présenté, rien n’est ni réellement analysé, ni mis en perspective si bien qu’il ne faut rien chercher d’autre dans ce type de publication que des restitutions chronologiques fidèles, mais figées.24 Colette Vallat Véronique Dupont et Djallal G. Heuzé (sous la direction de), La Ville en Asie du Sud. Analyse et mise en perspective, éditions de l’école des Hautes études en Sciences Sociales, Collection Purusartha, Paris, 2007,435 p.
25 Ce recueil d’articles s’ouvre sur un constat?: la société urbaine en Asie du Sud reste minoritaire, même si elle est productrice de villes géantes, comparables aux mégapoles mondiales.26 Ce sont d’ailleurs ces dernières qui sont l’objet des études de l’ouvrage, choix que les auteurs justifient d’une double manière. Ces très grandes villes se présentent tout d’abord comme le révélateur des mutations sociales que conna?t le sous-continent indien. L’émergence des mégapoles, ensuite, est un des traits marquants de l’urbanisation des sociétés contemporaines, ce qui facilite la démarche comparatiste. Cette dernière est en effet placée au c?ur de l’ouvrage, afin de résoudre la question de l’universalité et de la spécificité du phénomène urbain du sous-conti-nent. Si cette approche méthodologique est désormais classique, elle se traduit dans le recueil par une organisation particulière. A chaque étude de cas sur une ville d’Asie du Sud répond un court article d’un spécialiste d’une autre aire géographique, sur le mode de la discussion. 27 Les contributions, venues de divers champs disciplinaires, sont regroupées autour de trois grandes thématiques?: structure de la ville et recompositions socio-spatiales, tensions sociales et tensions urbaines, restructuration des espaces économiques.28 La première partie cherche ainsi à saisir les facteurs créateurs et organisateurs de l’espace urbain. L’étude d’A. Viguier sur les villes tamoules de la période pré-coloniale met en avant les correspondances existant entre les représentations forgées par le pouvoir politique ou religieux des villes et les formes urbaines en Inde du Sud. Correspondance que discute V. Gossaert, depuis le cas chinois, en insistant sur le nécessaire recours à des sources autres qu’?officielles?. L’article de V. Sac longchamp en cuir pas cher neuf
Dupont et d’U. Ramanathan s’attache à un autre acteur des transformations urbaines, la puissance publique, au travers de l’étude du traitement des bidonvilles à Delhi. L’analyse souligne le décalage entre les discours bien intentionnés des politiques et les réalisations, qui relèguent et marginalisent les habitants des bidonvilles. Les auteurs insistent notamment sur le r?le de plus en plus important joué par les cours de justice, qui remettent en cause le droit au logement ou au relogement de ces populations. Alors qu’à Delhi l’éradication des bidonvilles est justifiée au profit de ?l’embellissement? de la ville, H. Rivière d’Arc montre qu’à Sao Paulo cette même notion recouvre des politiques aux inflexions plus sociales, engageant une réflexion sur la circulation de certains concepts d’urbanisme. La contribution d’A.
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