Depuis 1998, l'employeur peut en effet verser à ses salariés une
indemnité de 0,15 euro par kilomètre parcouru, net d'imp?ts. Les jeunes
cadres dipl?més se sont plus aisément insérés dans le monde du travail
en 2006, estime l'APEC (Agence pour l'emploi des cadres). Moins d'un an
après l'obtention de leur dipl?me, 57 % de ces débutants ont décroché un
emploi, alors qu'ils n'étaient que 51 % en 2005. L'embellie se poursuit
donc. Déjà, en 2005, le recrutement des jeunes dipl?més avait augmenté
de 22 %. Tout le monde n'est, toutefois, pas logé à la même enseigne :
le taux d'emploi le plus élevé (91 %) revient aux dipl?més du médical,
du paramédical et du social. Vient ensuite le secteur de l'informatique,
des télécommunications et de la technologie multimédia, avec un taux de
77 %, puis le b?timent (70 %). En
revanche, les dipl?més des filières physique, chimie, biologie et
géologie (42 %) et ceux venant du droit ou des sciences politiques (47
%) cherchent généralement toujours un emploi, un an après leur dipl?me.
Autre inégalité : tandis que deux dipl?més d'écoles de commerce ou
d'ingénieurs sur trois dégottent rapidement leur premier job, ils ne
sont que 54 % chez les dipl?més de l'université. Enfin, ceux qui ont un
dipl?me de niveau Bac + 6 sont 71 % à se caser très vite, alors que les
Bac + 4 ne sont que 54 %. Globalement, la moitié des jeunes dipl?més
obtiennent d'emblée un statut cadre. 44 % ont la chance de signer un CDI
en guise de premier contrat, seuls 4 % se voyant proposer un CNE
(contrat nouvelles embauches).Si aux ?tats-Unis, en 2006, trois femmes
ont été promues CEO, chez Pepsico, Kraft et eBay, une telle
reconnaissance reste rarissime dans les autres pays. C'est une
radiographie soignée de la présence féminine dans les organes de
direction et de contr?le des plus grands groupes internationaux que
vient de dévoiler le cabinet d'expertise financière Ricol, Lasteyrie et
associés. Les 300 poids lourds passés au crible de cette étude pèsent pas moins
de 14 000 milliards d'euros de capitalisation boursière.Mais, quand on
regarde attentivement leurs comités exécutifs et conseils
d'administration, les femmes n'y pèsent, bien légèrement, que 10 %. Dans
le détail, elles représentent 9,3 % des membres des conseils
d'administration, et 7,6 % des comités exécutifs. Elles contr?lent donc
bien davantage qu'elles ne décident. Cette faible présence semble somme
toute surtout européenne. En effet, aux ?tats-Unis et au Canada, 15,6 %
des sièges des conseils d'administration et comités exécutifs sont
occupés par des femmes, contre seulement 7,6 % en Europe, et 6,1 % en
France.En la matière, c'est l'Asie qui fait le moins honneur aux dames :
elles n'y occupent que 2,1 % des sièges des instances de contr?le et de
décision. Une
seule entreprise américaine, Newscorp, n'accueille aucune femme, ni au
sein de son comité exécutif, ni dans son conseil d'administration. Mais
cela reste bien peu, au regard des pratiques européennes et asiatiques :
18 entreprises européennes et 66 asiatiques se passent totalement de
femmes dans leurs organes de direction et de contr?le. POUR Fran?ois
Tabourot, le turnover est plut?t une bonne nouvelle dès lors que les
collaborateurs partent chez les clients. ? Cela dit, nos cabinets
offrent des cursus de formation professionnelle et des transferts de
compétences ?, souligne-t-il. Ils se sont adaptés aux attentes de leurs
collaborateurs pour leur offrir davantage d'opportunités.Pour freiner le
turnover, PwC a ouvert ses filières. Après 3 ou 4 ans, un auditeur peut
devenir analyste en transaction ou en évaluation par exemple.
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