Un autre poète métaphysique est George Herbert (1159-1633). Dans son poème d'amour, que l'abstraction est personnifiée comme un autre serveur et de l'me de l'orateur en tant qu'invité réticents qui se sent indigne d'assister jusqu'à ce l'amour le convainc de s'asseoir et manger ma viande." L'orateur conclut avec "Je n'ai donc s'asseoir et manger."
Andrew Marvell (1621-1678) a écrit le poème célèbre carpe diem à sa Matresse Coy, un poème métaphysique qui est un traité logique. "Si nous avions assez de monde et le temps, est le principe, si: Mais dans mon dos j'entends" est la deuxième déclaration qui mène à la résolution "Maintenant donc ...."
Autres metaphsicals du 17ème siècle, citons Henry Vaughn, Thomas Carew, Richard Crashaw, Edward Herbert, Richard Lovelace, Thomas Traherne, et Sir John Suckling. Le 20e siècle a continué la tradition. TS Eliot, The Love Song de J. Alfred Prufrock abonde dans vanités comme comparer le soir à "un patient éthérée sur une table" et comment le personnage-titre mesuré dans sa vie "cuillères à café."
Autres modernes qui affichent vanités spirituelles dans leur poésie sont Archibald MacLeish, WH Auden, Emily Dickinson, Wallace Stevens, Hart Crane, Elinor Wylie, et Allen Tate, pour n'en nommer que les plus connus.
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