分类: 嵌入式
2011-01-12 14:15:35
XFire.Mais aujourd'hui, tous les PC, y compris les portables, ont une carte son ou un chipset intégré à la carte mère capable de faire au moins les mêmes choses que l'USB Dongle de Koss, quel est donc son intérê t? La réponse est simple: il ne vient pas rempl acer la carte son, mai s la compléter. Le but du Dongle USB est d'avoir un périphérique audio dédié à la communication sur Internet sans occup er le périphérique audio principal et les enceintes. Cela permet par e xemple de travailler et d'écouter de la musique et de recevoir des appels en VOIP. Le casque micro dispose ainsi de son propre périphérique et nul besoin de reconfigurer son pilote audio lorsque l'on switche entre le casque et les enceintes.Là où le principe se dissout un petit peu dans la dure réalité, c'est pour le jeu. On ne joue pas en effet avec le son sur ses enceintes et avec un casque micro sur la tête. Pourquoi pas alors faire gérer le son du jeu par le Dongle U SB (c'est-à-dire indiquer à Windows le Dongle en tant que périphérique au dio principal à la place de la carte son)? Tout simplement parce que ce dernier ne gère pas le son en 3D (voir cet artic le paru sur lesnumeriques.com) de façon matérielle mais de faço logicielle. Il consomme donc beaucoup plus de ressources processeur qu'une carte son pour gérer le son des les jeux. La solution peut être de n'utiliser que le micro sans le casque afin de ne pas saturer la carte son comme cela peut arriver s ur les chipsets intégrés AC97'.
Autre , utilisation possible: les amateurs de mixage en soirée entre amis. Certains se déplacent avec leur portable mais n'o nt qu'une sortie disponible, pas de pré écoute possible donc. Avec le Dongle USB, on le branche sur un port USB et on lui connecte un casque. Il suffit alors d'utiliser un soft de mixage MP3 comme Atomix MP3 qui gère plusieurs périphériques audio et le tour est joué.Le Dongle USB de Koss, avec un prix public de 69.90 euros, est donc un produit que l'on envisagera dans le cas d'une utilisation bien précise. Il répond en effet à des besoins très spécifiques qui ne rentrent pas dans le cadre classique d'utilisation du PC.On peut tr ouver le Dongle USB chez Rue Du Commerce. Les cartes son Audigy 2 et 4 avaient déjà une sérieuse longueur d’ avance sur la concurrence. Avec le X-Fi, Creative Labs enfonce le clou et propose une nouvelle ar chitecture ainsi qu’un lot de fonct ionnalités impressionnant.
Philippe Ramelet Mis à jour le 31 Août 2005L’architecture modulaireAvec les cartes X-Fi, Creative Labs a modifié son approche de l’interface avec l’utilisateur. Ainsi, sur ces nouvelles cartes, l’interface n’e st pas la même selon que l’on veut jouer, écouter de la musique ou utiliser un logiciel de MAO. Cela 1 permet à l’interface d’être moins lourde et de ne charger en mémoire que les fonctions nécessaires à chaque application. Les cartes X-Fi proposent ainsi trois modes sélectionnables à volonté : Jeu, Création ou Entertainment, ce dernier correspondant aux films et à l’ écoute de musique. Afin de conserver l’i nitiative et pérenniser son rôle de locomotive du son sur PC, Creative Labs a dévoilé sa nouvelle puce, le X-Fi. Celle-ci reprend toutes les bonnes choses qui ont fait le succès de la gamme Audigy et apporte quelques nouveautés importantes. On notera tout de même la disparition des ports Firewire SB1394 sur ces cartes.
Le prem ier point fort du X-Fi est le CMSS 3D. Cet algorithme de positionnement et de « virtualisation » du son n’est pas nouveau, il existait déjà en version CMSS 1 depuis les SB Live ! et en version CMSS 3D depuis l’Audigy 1. Mais grâ ce au rachat de Sensaura et à un travail de développement poussé, Creative Labs a su l’améliorer et l’adapter au contenu actuel. Lors de nos tests, nous avons particuli èrement été convaincus par le CMSS 3D en utilisation a vec un casque. Ce dernier crée en effet pa s moins de sept haut-parleurs virtuels à l’intérieur du casque et permet une bonne retranscription du son dans l’espace. C’est particulièrement appréciable lorsque la nuit tombe et que le casque devient un passage obligé afin de ne pas gêner ses proches o u ses voisins. Le bon point est que cette technologie fonctionne aussi bien avec une source stéréo que multi canaux. Elle est adaptable aussi bien aux jeux qu’aux films et à l’écoute de musique. Le CMSS 3D fonctionne a ussi sur des enceintes et se montre intéressant dans les films encodés en Divx qui n’ont qu’une bande son stéréo par exemple.
Le second point fort du X-Fi est le 24 bits Crystalizer. Il s’agit là encore d’un jeu d’algorithme de traitement du son qui agit comme un compresseur multi bande. Il a été développé pour remettre en valeur les MP3 et agit donc en particulier sur les haut es et les basses fréquences. Nous n’avons pas trouvé que le 24 bits Crystalizer offre des résultats convaincants lors de l’écoute de musique ca r il a tendance à la dénaturer. Son degré d’application est réglable sur une échelle de 0 à 100 et nous avons observé une trop grande modification du son lorsque l’on dépasse les 50 degrés. Sur les 10 morceaux de musique utilisés pour ce test, seul deux nous ont paru obtenir un gain significatif avec le 24 bits Crystaliser. Par contre, le fait de rehausser et de donner du relief et du punch au son est particulièrement appréciable dans les jeux. Un domaine dans lequel les émotions priment sur la fidélité.Dans tous les ca s, Le X-Fi confirme l es avancées établies par la gamme Audigy depuis quelqu 7 es années. La qualité du son 3D dans les jeux est irréprochable et l’impact sur les performances est minime. Avec 128 voix DirectSound 3D supportées simultanément ainsi que la mémoire X-RAM embarquée sur les versions Elite Pro et Fatal1ty (64 Mo sur les deux cartes), les capacités 3D sont assurées pour les années à venir. On notera que les cartes de la gamme X-Fi disposent d’un driver natif OpenAL très performant, ce qui est un atout pour les jeux qui supportent cette norme comme BattleField 2 ou encore UT2004.Les cartes de la gamme X-Fi seront disponibles mi septembre 2005 en France.Nous n’avons eu en m ain que deux cartes de cette gamme qui se compose des quatre cartes suivantes :
- X-Fi Xtreme Music, prix public de 139,99 e ros TTC - X-Fi Platinum, prix public de 219,99 euros TTC - X-Fi Fatal1ty, prix public de 269,99 euros TTC - X-Fi Elite Pro, prix public de 379,99 euros TTCPour environ 0,075 euro le giga-octet, le disque interne reste la meil leure solution de stockage pour no s ordinateurs. Avec des capacités toujours croissantes, on trouve désormais des modèles allant jusqu'à 2 To. Les nouveaux SSD ne manquent pas d'intérêt non plus...
Pierre-Jean Alzieu Mis à j our le 23 Novembre 2010Le PC de testLa machine de test est équipée des pièces suivantes : - Processeur : Intel Core i5-661
- Carte mère : Asus P7P55D-E Premium - Disque système : OCZ Agility 120 Go - Mémoire : 2 x 2 Go Corsair CM3X-2048 - Boîtie r : A+ Case CS-Monolith - Aliment ation : Corsair HX520W
L'offre des disques durs est très variée. Tout d'abord, il y en a de toutes les capaci tés : on dépasse aujourd'hui allégrement le To (1000 Go). Mais qui a réellement besoin d'une telle capacité de stockage et que peut-on bien faire de tout cet espace ? •les cinéphiles ; une fois compressés en DivX (ou en WMV), les DVD occupe nt entre 700 Mo et 1.4 Go. C'est pire en HD : les films 720p frisent les 5 Go tandis qu'il faut compter 8 à 20 Go pour ceux en 1080p.•les amateurs de vidéos/caméscopes et de photos. Avec les caméscopes HD, une heure de vidéo occupe entre 7 et 8 Go. Les photos occupent fa cilement 5 ou 6 Mo sur les appareils photo 10 mégapixels. Il faut donc compter 1 Go d'espace environ pour stocker 200 photos réalisées le temps d'un week-end. Il y a aussi ceux qui filment avec leur a ppareil photo numériqu e et ici, une vidéo de 10 m n occupera entre 600 Mo et 1 Go.•les joueurs. Les derniers jeux 3D occupent désormais entre 6 et 10 Go d'espace sur le disque dur.ttention au format et à la norme du disque dur !Il en existe plusieurs formats, comprenez plusieurs tailles physiques, définis en "pouces". Les disques durs classiques, soit ceux des ordinate urs de bureau, sont ceux au format 3,5". Les disques des ordinateurs portables so nt plus petits (et souvent moins rapides) : 2,5". Enfin, on retrouve des disques durs 1,8" dans certains appareils mobiles, comme les baladeurs multimé dias par exemple.
Attention au ssi à la norme utilisée par le disque dur. Depuis quelques années les ordinateurs sont passés à la norme SAT A (un petit connecteur), alors que les plus anciens sont à la norme PATA, aussi dite IDE. SSD : le challengerM oins volumineux, aussi bien en taille (uniquement en 2,5 pouces) qu'en capacité (actuellement limité à 256 Go), beaucoup plus véloce et silencieux, le SSD - disque à mémoire flash - remplace petit à petit le disque dur à plateau. Il est cependant encore très cher et il lui faudra encore quelques années pour supplanter le bons vieux disque dur. C'est en revanche une excellente solution complémentaire : le SSD stocke le système d'exploitat ion et les logiciels, et le HDD stocke les données personnels (photos, vidéos, fic hiers perso...).Réduisez le bruit du disque dur avec la gestion acoustiqueLa quasi-totalité des constructeurs, tous sauf Seagate, proposent des disques durs gérant l'AAM : Automatic Acoustic Ma nagement, ou Gestion Acoustique Automatique. Souvent désactivée par défaut, cette fonction réduit le bruit émi s par le disque dur... souvent au détriment des débits. Pas toujours : les modèles les plus doués offriront les mêmes débits, AAM activé ou non. Plusieurs outils existent pour activer cette fonction. Le plus utilisé est l'utilitaire Hitachi Feature Tool. Bien que fourni par Hitachi, il fonctionne avec la plupart des disques durs des autres marques. Son inconvénient : il faut créer un CD et démarrer l'ordinateur sur celui-ci. Il existe également Notebook Hardware Contr ol. A la base, cet utilitaire permet de régler différentes options sur les ordin ateurs portables afin de gagner en autonomie. Mais il permet également d'activer ou de désactiver la gestion acoustique sur les disques durs, y compris sur ceux des machines de bureau. Une fois la gestion acoustique activée, il vous suffit de désinstaller le logiciel.Cela fait maintenant plus de deux ans que l'on voit les disques durs à base de mémoire Flash pointer le bout de leur nez sur le marché. Au début, seuls des capacités de 8 Go étaient disponibles à des prix exorbitants. Aujourd'hui, on commence à voir arriver des modèles 64 et 128 Go respectivement à partir de 150 et 270 euros. Pierre-Jean Alzieu Mis à jour le 27 Novembre 2008Procédure de test
Dans un premier temps, nous utilisons des benchmarks comme PC Mark Vantage et HDTach pour vé rifier les résultats obtenus dans les tests pratiques, mais ces valeurs ne sont pas rapportées. Ensuite vient la parti e pratique. Pour ce faire, nous utilisons deux types de fichiers. Une multitude de petits, puis un énorme, de 6,4 Go, pour déterminer les deux débits extrêmes, minimum et maximum, des disques. Typiquement, le débit sur les petits fichiers représentera bien la vitesse réelle lors des transferts de fichiers audio. Celui sur l e gros représentera le débit sur les grosses vidéos. Du côté de l'ordinateur de test, nous utilisons deux Western Digital Raptor 36 Go 10 000 tr/min en Raid 0, afin de ne pas être limités par notre machine de test. Enfin, ont également été pris en compte la consommation électrique en veille puis en écriture et le temps de boot du PC lorsqu'on utilise le SSD en disque système. L'avantage du SSDLes disques SSD étant dépourvus de partie mécanique, ils ne sont pas sujets au bruit et offrent une plus grande résistance aux chocs. De même, l'accès aux données est généralement plus rapide. Pour un disque dur classique, il faut compter de 7 à 17 ms de temp s d'accès; tandis que les SSD ne mettent que de 0.1 à 1 ms. Les différentes technologies de m émoire : SLC et MLCIl existe deux types de mémoire NAND . Selon la technologie, les mémoires s'usent plus ou moins vite. Les mémoires SLC, qui sont les plus chères au giga-octet, supportent, selon le constructeur, 100 000 cycles d'effacement /écriture, contre seulement 10 000 pour les MLC.Pour quel usage ?Certaines marques, comme MemoRight, visent le secteur professionnel avec des disques SSD à mémoire NAND SLC. D'autres, comme Samsung, OCZ et Transcend, se penchent plus sur le marché grand public, avec des prix plus abordables au giga-octet.
Aujourd'hui, le SSD vient compléter le PC sans pour autant prendre la place du disque dur classique. Pa r exemple, il est possible d'utiliser le SSD en disque système pour gagner du temps au démarrage de l'OS (Windows Vista, Linux, ...), mais aussi au lancement des différents programmes. Le disque dur classique sert dans ce cas pour le stockage de données : photos, films et au tres types de fichiers volumineux.Un chiffre : sur les bons SSD testés, le démarrage complet de Vista sur le PC de test a pris 33 secondes, contre 57 secondes sur le même poste, avec cette f ois deux disques durs raptor montés en R aid 0. Soit un gain de 42 % en temps.
C'est une mesure basée sur une transition entre deux gris, dont on tronque les extrêmes. Elle aboutit à des temps fixes : les écrans PVA sont donnés pour 5 ms, l'IPS pour 6 ms, le TN pour 2 et 5 ms... Il se trouve que nos propres mesures et nos impressions visuelles ne concord ent absolument pas avec cette nor me. Nous avons des écrans censés être à 5 ms et qui sont plus réactifs visuell ement - et c'est flagrant ! - que d'autres à 2 ms. D'où la nécessité d'une autre mesure, plus proche de la réalité. Les constructeurs en sont conscient s, et certains ne donnent même plus le "temps de réponse" officiel, qui a fait son temps... Voici le verdict de notre caméra à 1000 images par seconde sur plusieurs écrans de référence : En abscisse : le temps de rémanence, en millisecondes (ms) Cette fois, les résultats s'accordent bien avec nos impressions ! Les écrans les plus rapides sous l'œil de la caméra le sont aussi sous le notre. Fait très intéressant, la caméra distingue bien les variations parfois très importantes sur des écrans équipés de dalles utilisant la même technologie. Premières constatations L'OLE D est clairement prometteur ! Le premier et unique télévis eur de ce type est actuellement le plus réactif jamais passé au laboratoire. Technologie Plasma : les TV plasma Panasonic testés sont particulièrement réactifs - plus qu'une majorité d'écrans LCD. Seuls les meilleurs LCD, équipés de c ertaines dalles PVA et ASV, atteignent leur nivea u. Technologie PVA : plusieurs qualités de cri staux liquides coexistent.