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et la combattre comme le firent nos ainés que certains trublions honteux appelent staliniens!Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Candidat aux législatives, il a envoyé mercredi ?des signes à son électorat et à l’extrême droite. Quand le Cavaliere fait son spectacle, tous en prennent pour leur grade?: la magistrature, la gauche, l’euro, et même… l’Allemagne?! Lors d’une allocution, mercredi soir, Silvio Berlusconi a donné des signaux à son camp, alors qu’il veut prendre la tête d’une coalition de centre droit aux élections législatives de février. Contesté au sein de son parti, il tente de s’attirer les faveurs des députés proches de Mario Monti, président du Conseil démissionnaire. Pour ce, il a d’abord dit que si ??Monti était candidat pour être le chef des modérés?? (le centre droit), il ferait ??un pas en arrière??. Avant d’expliquer que son retrait serait conditionné au fait que Monti soit aussi le candidat de la Ligue du Nord, aujourd’hui dans l’opposition… Improbable?! En d’autres termes, Berlusconi négocie le ralliement de cette formation d’extrême droite. Outre ces considérations d’appareil, à 12?% dans les sondages, le Cavaliere s’est avant tout adressé à ceux qui ont assuré ses succès passés?: le monde des petites entreprises, dont beaucoup ne tiennent la concurrence internationale qu’au moyen de l’évasion fiscale et du non-respect du droit du travail. C’est à cette aune qu’on comprend sa diatribe anti-germanique. Tout d’abord, il a, à demi-mot, accusé les ??banques allemandes?? d’avoir vendu 9?milliards d’euros de bons du Trésor italien quand il était président du Conseil, entra?nant une hausse des taux d’intérêt sur la dette, le poussant à la démission. Il s’en est également pris au ??vice?? de l’euro, dont l’Allemagne a voulu qu’il soit fort en accordant pour seul mandat à la Banque centrale européenne (BCE) celui de la ??lutte contre l’inflation??. Se faisant défenseur du capital italien, il a estimé que l’incapacité de la BCE à prêter aux états pendant la crise a entra?né un appauvrissement de plusieurs pays, dont les entreprises pourront ainsi être ??absorbées à bas co?t par les entreprises auparavant concurrentes??. Ga?l De SantisLe tir nord-coréen permet aux états-Unis de justifier une présence dans le Pacifique. ?Le satellite est entré en orbite comme prévu. ?? Hier, la télévision nord-coréenne se targuait du lancement triomphal de la seconde version de son ??satellite Kwangmyongsong-3 depuis le centre spatial de Sohae??. Une première pour Pyongyang qui affirme posséder des missiles balistiques intercontinentaux en capacité d’atteindre les états-Unis ; selon Tokyo et Séoul, le lanceur a survolé l’?le japonaise d’Okinawa et achevé sa course au large des Philippines.à l’exception de l’Iran qui a salué la voie de ??l’indépendance technologique??, la condamnation internationale, y compris chinoise, n’a pas tardé. En fait de satellite, il s’agirait d’un tir de missile balistique qui sert la stratégie de la tension de part et d’autre. Si Washington a réprouvé un ??acte hautement provocateur qui menace la sécurité régionale, viole directement les résolutions 1718 et 1874 du Conseil de sécurité de l’ONU (... ) et mine le régime de non-prolifération??, la menace leur a également permis de déployer quelques jours plus t?t des navires équipés de capacités antimissiles balistiques. Et d’assurer une présence dans une zone Asie-Pacifique qui fait clairement partie de leur visée stratégique.à la suite de ce tir de fusée, l’UE a brandi la menace de ??possibles sanctions supplémentaires?? en conformité avec les décisions qui sortiront de la réunion du Conseil de sécurité qui devait se tenir hier. La Corée du Nord oppose, elle, ??le droit à utiliser l’espace à des fins pacifiques (...) universellement reconnu par le droit international.