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分类: Windows平台

2015-01-12 09:29:31

et qui promenait tout autour de lachambre des regards effarés,Au diablel'homme ! pensa Bussy.Et il essaya de formuler sa pensée par la parole ou par le geste, mais l'unlui fut aussi impossible que l'autre.Ah ! je comprendsmaintenant, dit le jeune homme en s'approchant du lit,vous êtes blessé, n'estce pas, mon cher monsieur Voyons, nous allonsessayer de vousraccommoder.Bussy voulut répondre ; mais il comprit que cela était chose impossible.Ses yeux nageaient dans une vapeur glacée, et les extrêmesbourrelets deses doigts le piquaient comme s'ils eussent été traversés par cent milleépingles,Estce que le coup est mortel demanda avec un serrement decoeur et unaccent de douloureux intérêt qui fit venir les larmes aux yeux de Bussy lavoix douce qui avait déjà parlé, et que le blessé reconnut pourêtre celle dela dame du portrait.Dame ! je n'en sais rien encore ; mais je vais vous le dire, répliqua lejeune homme ; en attendant il est évanoui.Cefut là tout ce que put comprendre Bussy ; il lui sembla entendre commele froissement d'une robe qui s'éloignait.  Puis il crut sentir quelque chosecommeun fer rouge qui traversait son flanc, et ce qui restait d'éveillé en luiacheva de s'évanouir.Plus tard il fut impossible à Bussy de fixer la durée decet évanouissement.Seulement, lorsqu'il sortit de ce sommeil, un vent froid courait sur sonvisage ; des voix rauques et discordantes écorchaient sonoreille, il ouvritles yeux pour voir si c'étaient les personnages de la tapisserie qui sequerellaient avec ceux du plafond, et, dans l'espérance que leportrait seraittoujours là, il tourna la tête de tous c?tés,ais de tapisserie, point ; deplafond, pas davantage.Quant au portrait, il avait complètementdisparu. Bussy n'avait à sa droitequ'un homme vêtu de gris avec un tablier blanc retroussé à la ceinture ettaché de sang ; à sa gauche, qu'un moinegenovéfain, qui lui soulevait latête, et devant lui, qu'une vieille femme marmottant des prières,L'oeil errant de Bussy s'attacha bient?t à une masse depierres qui sedressait devant lui, et monta jusqu'à la plus grande hauteur de ces pierresCHAPITRE IIICOMMENT IL EST DIFFICI, 7 4La dame deonsoreau.tomepour la mesurer ; il reconnut alors le Temple, ce donjon flanqué de murs etde tours ; audessus du Temple le ciel blanc et froid, légèrement doré parlesoleil levant.Bussy était purement et simplement dans la rue, ou plut?t sur le rebordd'un fossé, et ce fossé était celui du Temple.  Ah ! merci, mesbraves gens, ditil, pour la peine que vous avez prise dem'apporter ici. J'avais besoin d'air, mais on aurait pu m'en donner enouvrant les fenêtres, etj'eusse été mieux sur mon lit de damas blanc et orque sur cette terre nue. N'importe, il y a dans ma poche, à moins que vousne vous soyez déjà payésvousmêmes, ce qui serait prudent, quelque vingtécus d'or ; prenez, mes amis, prenez. ais, mon gentilhomme, dit le boucher, nous n'avons pas eu la peinedevous apporter, et vous étiez là, bien véritablement là. Nous vous y avonstrouvé, en passant au point du jour.Ah ! diable ! dit Bussy ; et le jeunemédecin y étaitil Les assistants se regardèrent.C'est un reste de délire, dit le moine en secouant la tête.
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