Bon,
merc. espérez pour nous deux, Maximilien : cela me rend à moitié
heureuse, Que vous arrivetil donc encor. Valentin. que vous me quittez
si vite Je ne sais ; Mme de Villefort m'a fait prier de passer chez elle
pour une communication de laquelle dépend, m'atelle fait dir. une
portion de ma fortune, Eh ! mon Dieu, qu'ils la prennent ma fortun. je
suis trop rich. et qu'après me l'avoir prise ils me laissent tranquille
et libre ; vous m'aimerez tout autant pauvr. ,
n'estce pas, Morrel Oh ! je vous aimerai toujours, moi ; que m'importe
richesse ou pauvreté, si ma Valentine était près de moi et que je fusse
sr que personne ne me la pt ter ! Mais cette communication, Valentin. ne
craignezvous point que ce ne soit quelque nouvelle relative à votre
mariage Je ne le crois pas, Cependant, écoutezmo, Valentin. et ne vous
effrayez pas, car tant que je vivrai je ne serai pas à une autre, Vous
croyez me rassurer en me disant cela, Maximilien Pardon ! vous avez
raison, je suis un brutal. Eh bien, je voulais donc vous dire que
l'autre jour j'ai rencontré M. de Morcerf. Eh bien M. Franz est son am. comme
vous savez. Oui ; eh bien Eh bien, il a reu une lettre de Franz, qui
lui annonce son prochain retour. Valentine palit et appuya sa main
contre la grille, Ah ! mon Dieu ! ditell. si c'était cela ! Mais non, la
communication ne viendrait pas de Mme de Villefort, Pourquoi cela
Pourquoi... je n'en sais rien.