Nous remonterons ici, et alors nous verrons.Oh , Grégoriska, m'écriaije, si
c'est lui, il vous tuera.Ne craignez rien, ma bienaimée Edwige, Seulement,
consentez.Vous savez bien que je ferai tout ce que vous voudrez, Grégoriska.A ce
soir, alors.Oui, faites de votre c?té ce que vous voulez faire, et je vous
seconderai de mon mieux, allez. Il sortit. Un quart d'heure après, je vis un cavalier bondissant sur la route du
monastère, c'était lui , A peine l'eusje perdu de vue que je tombai à genoux, et
que je priai comme on ne prie plus dans vos pays sans croyance, et j'attendis
sept heures, offrant à Dieu et aux saints l'holocauste de mes pensées . je ne me
relevai qu'au moment où sonnèrent sept heures. J'étais faible comme une
mourante, p?le comme une morte, Je jetai sur ma tête un grand voile noir, je
descendis l'escalier, me soutenant aux murailles, et me rendis à la chapelle
sans avoir rencontré personne, Grégoriska m'attendait avec le père Bazile,
supérieur du couvent de Hango. Il portait au c?té une épée sainte, relique d'un
vieux croisé qui avait pris Constantinople avec VilleHardouin et Beaudoin de
Flandre, Hedwige, ditil en frappant de la main sur son épée, avec l'aide de
Dieu, voici qui rompra le charme qui menace votre vie, Approchez donc XV LE
MONAST?RE DE HANGO. 151 Page 155 Les mille et un fantomes résolument, voici un
saint homme qui, après avoir re?u ma confession, va recevoir nos serments. La
cérémonie commen?a . jamais peutêtre il n'y en eut de plus simple et de plus
solennelle à la fois. , Nul
n'assistait le pope, luimême nous pla?a sur la tête les couronnes nuptiales.
Vêtus de deuil tous deux, nous f?mes le tour de l'autel un cierge à la main .
puis le religieux, ayant prononcé les paroles saintes, ajouta . Allez
maintenant, mes enfants, et que Dieu vous donne la force et le courage de lutter
contre l'ennemi du genre humain. Vous êtes armés de votre innocence et de sa
justice, vous vaincrez le démon. Allez, et soyez bénis> Nous bais?mes les
livres saints et nous sort?mes de la chapelle, Alors, pour la première fois, je
m'appuyai sur le bras de Grégoriska, et il me sembla qu'au toucher de ce bras
vaillant, qu'au contact de ce noble coeur, la vie rentrait dans mes veines, Je
me croyais certaine de triompher, puisque Grégoriska était avec moi . nous
remont?mes dans ma chambre, Huit heures et demie sonnaient.
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