分类: 信息化
2014-10-22 16:25:16
Suivre le fil d'actualités en images de son collègue médecin devrait
bient?t être possible. D'ici à la fin de l'année, une application de
partage de photos sur le modèle d'Instagram devrait voir le jour en
Europe. L'objectif : permettre aux médecins de consulter et de partager
des photos de leurs patients avec leurs collègues et les étudiants en
médecine.Le Dr Josh Landy, médecin et co-fondateur de cette appli
baptisée Figure 1, se charge d'apaiser les inquiétudes soulevées par
certains sceptiques quant au respect de l'anonymat et du secret médical.
Les règles de confidentialité sont respectées. Les visages des patients
qui apparaissent sur les photos postés sont automatiquement masqués par
un cache noir. De plus, chaque image passe d'abord par un filtre de
modération avant d'être publié sur l'appli.
"Nous ne possédons aucune donnée médicale. La meilleure fa?on de
respecter le secret médical est en effet de ne pas en obtenir. Nous ne
sommes par une organisation qui délivre des soins", insiste le Dr Josh
Landy, interrogé par la BBC.En revanche, ce sont les utilisateurs, en
l'occurrence les professionnels de santé qui doivent manuellement
flouter des marques caractéristiques comme les tatouages qui pourraient
permettre d'identifier les patients.Une "vision transparente" du milieu
médicalExit les images choquantes. Idem pour les photos de maladies trop
rares qui pourraient permettre de lever l'anonymat du patient. "Tout
est fait dans un but éducatif. C'est-à-dire que beaucoup d'images sont en couleur et correspondent à
ce que rencontrent les médecins dans leur cabinet tous les jours. C'est
une vision transparente d'un monde que le grand public a rarement
l'occasion de voir", explique le Dr Landy.Si Figure 1 est disponible
gratuitement sur smartphone (pour l'instant uniquement en Amérique du
nord, en Irlande et au Royaume-Uni), seuls les médecins sont autorisés à
(...) Ebola : mobilisation contre l'euthanasie du chien de
l'aide-soignante espagnole malade Excalibur contaminé ou pas ? Si la
question n'est pas tranchée, les autorités sanitaires espagnoles
exigent, mardi 7 octobre, l'euthanasie du chien de l'aide-soignante
atteinte par le virus Ebola et hospitalisée avec son époux à Madrid
(Espagne). Les services vétérinaires, encadrés par la police, sont venus
chercher l'animal à Alcorcon, dans la résidence du couple, située dans
la banlieue de Madrid.
"Ils veulent juste le tuer"Le département de Santé de la communauté
urbaine de Madrid plaide, pour justifier sa décision, que le chien a été
"en contact étroit avec la patiente". Mais voisins et défenseurs de la
cause animale étaient nombreux, mercredi, devant l'immeuble du couple, à
manifester leur opposition à cette décision.Javier, le mari de
l'aide-soignante malade, a enregistré depuis sa chambre d'h?pital une
vidéo, demandant à la population d'empêcher l'euthanasie du chien :
"J'en appelle à tous les Espagnols pour sauver mon chien Excalibur. Ils
veulent juste le tuer, sans aucune procédure au préalable." Des
chercheurs espèrent pouvoir greffer des pénis cultivés en laboratoire
dans 5 ans Un espoir pour les hommes souffrant de troubles érectiles,
mais pas pour les personnes souhaitant changer de sexe.L'information
peut prêter à sourire. Elle peut pourtant avoir des incidences
considérables sur le quotidien d'individus en souffrance: des chercheurs
du Wake Forest Institute for Regenerative Medicine, en Californie,
envisagent de pouvoir tester sur l'homme des pénis cultivés en
laboratoire d'ici 2020.