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2014-08-18 17:41:41

Pourtant, ? sans repli américano-britannique, aucun déclic ne pourra se produire parmi la population ?, relève un diplomate.Même dans le sud, pourtant moins secoué par les attentats de la guérilla, là où les forces britanniques ont cédé du terrain, les milices chiites ont pris le relais pour s'affronter. C'est le cas à al-Amara, où le couvre-feu a été décrété hier, après plusieurs jours de combats meurtriers entre l'armée et la milice du leader radical Moqtada Sadr. Depuis leur quartier général de Bassora, les troupes anglaises, qui ont quitté Amara en ao?t, sont prêtes à revenir secourir les troupes régulières. Appels américains à démanteler les milicesLa flambée de violence d'al-Amara n'augure sans doute rien de bon, en cas de retrait des 8 000 soldats britanniques du sud. D'où les appels américains répétés pour que le premier ministre Nouri al-Maliki démantèle enfin les milices, la principale menace aujourd'hui sur la stabilité du pays. Mais celui-ci para?t trop faible pour soumettre ces différents groupes armés.
Ce qui n'a pas empêché hier Barham Saleh de prétendre que, d'ici à la fin de l'année, les autorités irakiennes assumeraient la responsabilité directe de la sécurité dans la moitié des 18 provinces du pays. La sécurité de l'?tat ? Ou celle des groupes paramilitaires ?GAZ LACRYMOG?NES, canons à eau et balles en caoutchouc : les célébrations, hier à Budapest, du cinquantenaire de l'insurrection de 1956 ont été particulièrement mouvementées. Alors qu'une cinquantaine de chefs d'?tat et de gouvernement étrangers assistaient tranquillement aux cérémonies officielles, la police tentait de disperser plusieurs milliers de manifestants antigouvernementaux, qui marchaient sur le Parlement. Un ancien char soviétique T-34, qui servait de décor, a même été utilisé pour rompre le barrage des forces de l'ordre ! ? Toute la foule a commencé à applaudir, raconte un cameraman de Reuters. La police a tiré des grenades de gaz lacrymogène et le char s'est arrêté. ?Des hélicoptères de la police survolaient les rues du centre-ville envahies par la foule, tandis qu'au sol des policiers en gilets pare-balles appelaient les manifestants à rentrer chez eux. ? C'est quand même un comble que le jour de la fête nationale, le peuple ne puisse pas participer aux célébrations ! ?, s'énervait Peter Joo, un expert-comptable qui voulait ? juste déposer quelques fleurs auprès du monument dédié aux victimes de l'insurrection ?, sur la place Kossuth, devant le Parlement, et qui a re?u des gaz lacrymogènes. La totalité de l'avenue Bajcsy-Zsilinsky, non loin du Parlement, a été aspergée de gaz lacrymogène, rapporte l'agence hongroise MTI, qui décrit des manifestants portant des cagoules de ski, mais aussi des retraités et des familles avec enfants. Plusieurs personnes ont été blessées, parfois grièvement, par des balles en caoutchouc. Cachés derrière des barricades formées de poubelles, certains manifestants ont lancé des pierres et des morceaux de métal en direction des forces de l'ordre. Mais en début de soirée, une quarantaine de policiers à cheval, avan?ant sans ménagement dans la foule, a réussi à disperser les manifestants.Dans la nuit de dimanche à lundi, la police avait délogé, à coup de matraques, quelque 300 protestataires - dont des femmes et des personnes ?gées, selon MTI - qui campaient depuis un mois devant le Parlement, réclamant la démission du premier ministre socialiste. Plusieurs d'entre eux ont été évacués ? le visage en sang ?. Dix personnes ont été arrêtées, la police ayant trouvé divers ? objets dangereux ? dans leurs affaires.
Dans un discours à huis clos, prononcé juste après sa réélection en avril dernier, Ferenc Gyurcsany avait avoué en termes parfois très crus, n'avoir fait ? que des conneries ? et avoir ? menti matin, midi et soir ?. La diffusion de ce discours, le 18 septembre, avait entra?né les pires émeutes que le pays ait connues depuis la chute du communisme en 1989, puis des manifestations quotidiennes devant les b?timents du Parlement.Une vingtaine de chefs d'?tat européensL'opposition de droite, qui conteste aux socialistes - héritiers des communistes restés au pouvoir pendant encore 33 ans après l'écrasement de l'insurrection - le droit de présider les cérémonies, boycottait les célébrations officielles. Le Fidesz, le parti conservateur populiste de Viktor Orban, rejoint par des membres du petit parti chrétien-démocrate KDNP et plusieurs associations d'anciens combattants, avaient donc organisé leurs propres manifestations, attirant, selon eux, plus de cent mille personnes. ? Chers invités, bienvenue au pays de Gyurcsany où les mensonges apparaissent comme des vérités, où le péché ressemble à la vertu. Aidez-nous, s'il vous pla?t, à le faire démissionner avec sa clique ?, lisait-on sur l'une de leurs banderoles. L'ancien premier ministre Viktor Orban, a une nouvelle fois réclamé la démission de Ferenc Gyurcsany.
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