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2013-11-25 15:36:48
Il auraitété ravi de pouvoir se promener dans le village de Préaulard
pendant le weekend; c'était unvillage entièrement peuplé de sorciers et
il n'y avait jamais mis les pieds. Mais commentpouvaitil espérer
convaincre l'oncle Vernon ou la tante Pétunia de signer l'autorisation
?Le réveil indiquait deux heures du matin.Harry estima préférable
d'oublier le formulaire jusqu'au lendemain. Il se remit au lit et
tra?aune croix de plus sur le calendrier qu'il s'était fait pour compter
les jours qui le séparaient dela rentrée à Poudlard. Il enleva ensuite
ses lunettes et s'allongea, les yeux grands ouverts, encontemplant ses
trois cartes d'anniversaire.Si étrange que cela puisse para?tre, Harry
Potter, en cet instant, avait l'impression d'êtrecomme tout le monde:
pour la première fois de sa vie, il était content que ce jour soit celui
deson anniversaire.LA GROSSE ERREUR DE LA TANTE MARGELe lendemain,
lorsqu'il descendit prendre son petit déjeuner, Harry trouva les trois
Dursleydéjà assis autour de la table de la cuisine.
Ils étaient en train de regarder une télévision touteneuve, un cadeau
que l'oncle Vernon et la tante Pétunia avaient fait au début des
vacances àleur fils Dudley qui s'était plaint bruyamment que le chemin
séparant le réfrigérateur de latélévision du living était beaucoup trop
long pour lui. Dudley avait passé la plus grande partiede l'été dans la
cuisine, ses petits yeux porcins rivés sur l'écran, ses cinq mentons
tremblotantd'avidité tandis qu'il s'empiffrait continuellement.Harry
s'assit entre Dudley et l'oncle Vernon, un homme grand et massif
quasiment dépourvude cou mais doté d'une abondante moustache. Non
seulement personne ne se donna la peinede souhaiter un bon anniversaire à
Harry, mais ils ne semblèrent même pas remarquer saprésence. Il était
habitué à ce genre d'attitude et ne s'en souciait guère. Harry prit un
toast etregarda le journaliste qui annon?ait les nouvelles. Il était
question de l'évasion d'un prisonnier. ? Les autorités précisent que Black est armé et très dangereux. Un
numéro vert a étéspécialement mis en place pour permettre à toute
personne qui apercevrait le fugitif de lesignaler immédiatement. ?— Pas
la peine de préciser qu'il est dangereux, grommela l'oncle Vernon en
levant les yeux deson journal pour regarder la photo du prisonnier qui
venait d'appara?tre à l'écran. Tu as vucomme il est sale ? Tu as vu ses
cheveux ?Il jeta un regard oblique à Harry dont les cheveux en bataille
provoquaient chez l'oncleVernon une continuelle exaspération. Pourtant,
comparé à la photo de l'homme au visageémacié et à la tignasse emmêlée
qui lui tombait sur les épaules, Harry avait l'impression d'êtrecoiffé
avec le plus grand soin. Le journaliste réapparut.? Le ministère de
l'Agriculture et de la Pêche doit annoncer aujourd'hui.
.. ?— Eh, pas si vite ! aboya l'oncle Vernon en lan?ant un regard
furieux au présentateur dujournal. Il ne nous dit pas d'où ce fou
furieux s'est échappé ! Imaginez que ce cinglé soit aucoin de la rue !La
tante Pétunia, une femme maigre au visage chevalin, se leva d'un bond
et alla regarder parla fenêtre de la cuisine. Harry savait qu'elle
aurait été ravie d'être la première à appeler lenuméro vert. Il était
difficile de trouver plus fouineur qu'elle et rien ne l'intéressait
davantageque d'espionner ses voisins dont la vie n'était pourtant qu'une
longue et morne routine.— Quand donc voudrontils bien comprendre,
tempêta l'oncle Vernon en martelant la table deson gros poing violet,
que seule la pendaison peut nous débarrasser de ces genslà ?— ?a, c'est
vrai, approuva la tante Pétunia qui continuait d'observer attentivement
les plantsde haricots du jardin d'à c?té.
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