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2011-08-30 10:34:27

Faute de pouvoir garantir  un niveau de service, de nombreuses entreprises ne virtualisent pas leurs applications très critiques, comme les progiciels de SAP par exemple. Pour le faire, il faut des performances et une disponibilité optimales. Or, le datacenter fait souvent des compromis lorsqu'il cherche à améliorer les performances applicatives et  à réduire ses coûts d'exploitation, avec un effectif technique constant. Virtual Instruments,  une émanation de Finisar, propose deux matériels et deux logiciel  s, pour optimiser l'infrastructure du cloud privé. Il vient de lancer la plateforme VirtualWisdom 3.0 et une sonde réseau à base d'ASIC (2U) capable d'analyser jusqu'à 8 liaisons optiques simultanément, sans agent (8 liens SAN à 8 Gbps). Son interface utilisateur s'appuie sur une console sous Windows. Des performances prédictibles de bout-en-bout "L'entreprise conf  ie souvent ses applications critiques à un réseau de stockage dédié, à un SAN Fibre Channel, mais sans savoir précisément de quelles performances elle aura besoin", no

te Chris James, le responsable mark  eting EMEA de Virtual Instruments. Il précise que l'évolution habituelle consiste à ajouter simplement des disques durs au fur et à mesure des besoins. Mais la tendance green IT impose de surveiller la consommation électrique. Et les migrations actuelles de réseaux à 1 ou 2 Gbps vers de nouveaux SAN à 4 ou 8 Gbps, voire 16 Gbps, augmentent le débit sur la même fibre optique, laquelle devient moins résistante. "Une pou  ssière sur le chemin des données ou bien une connectique imparfaite et le délai de latence apparaît. Pour résoudre les problèmes survenant sur des applications critiques, il faut surveille  r chaque composant de l'infrastructure, un peu comme on le fait en Formule 1", compare-t-il. Cette supervision permet de retarder l'acquisition d'adaptateurs réseaux, de commutateurs et de serveurs physiques supplémentaires. Partenaire de Hitachi Data Systems La nouvelle sonde de performances SAN est conçue pour offrir une visibilité complète des s erveurs, des réseaux et des infrastructures d

e stockage. Multidomaine, elle  fonctionne en temps réel (jusqu'à la milliseconde) et de façon indépendante des fournisseurs de commutateurs et d'adaptateurs Fibre Channel. Les entêtes de trames sont analysés pour vérifier l'utilisation de la bande passante tandis qu'au niveau des serveurs une surveillance des  plateformes physiques et logiques est menée chaque minute. Cette neutralité a séduit Hitachi Data Systems qui a noué une relation étroite avec Virtual Instruments et recommande à ses clients de surveiller leur infrastructure réseau en fibre optique, en particulier lors de la rénovation de leurs datacenters ou de la création de datacente  r de nouvelle génération. Je ne risque pas grand chose si je vous dis que la sécurité du Cloud Hybride sera l’un des axes forts de #VMworld 2011, le méga show annuel de VMware, qui ne va plus tarder à ouvrir ses portes Las Vegas - avec près de 20 000 visiteurs annoncés. Sécurité & Cloud, le débat est encore loin d’avoir été clos, vous le savez aussi bien que m  oi. En guide de mise en bouche sur le sujet, VMware vient d’annoncer l’acquisition de PacketMotion, à peine deux jours avant l’ouverture, via un billet plutôt sobre de Dean Coz

a, Directeur Produits  & Security chez VMware, sur le blog officiel «The Console». Du  amélioré PacketMotion est une start-up californienne qui s’est spécialisée dans l’UAM (User Activity Management, ou la gestion de l’Activité des utilisateurs). Dans le principe, sa solution mène des investigations sur les activités des utilisateurs au sein du réseau de l’entre  prise, et permet de les mettre sur une liste blanche ou liste noire selon leurs comportements, créer des alertes selon leur niveau d’accès, et bloquer leurs actions si elles sont jugées suspicieuses. «Si vous pouvez le voir, vous pouvez le sécuriser» résume la baseline de la société. En somme, il s’agit d’une sorte de solution de DLP améliorée. Selon le site de PacketMotion, sa solution , comme celles de DLP permet une visibilité détaillée de l’activité des utilisateurs, mais la différence se fait sur le réseau : les solutions de DLP se cantonnent à la périphérie, tandis que PackSentry Virtual Probe, fonctionne aussi bi  en à l’extérieur qu’à l’intérieur du réseau. Plus de confiance dans les commu

nications inter-VM Packet  Motion a concentré ses efforts sur l’intégration dans les réseaux physiques et virtuels, ce qui a probablement joué en sa faveur. En pratique,la solution est une appliance contenant une ou plusieurs sondes et un outil de management, ce qui élimine le besoin de déployer de multiples agents dans les machines virtuelles. Pack  etMotion vient aussi pallier au manque de visibilité et de co  ntrôle dans les communications VM à VM, identifié par le Gartner comme une problématique majeure des entreprises. Ce manque de visibilité peut donner lieu à des communications non autorisées entre machines virtuelles, mixant invonlontairement les niveaux de confiance au sein d’un même hôte, n’étant plus capabl  e de détecter les accès frauduleux. Objectif Cloud hybride, bien sûr Bref, PacketMotion a tout ce qu’il faut, pour, selon Dean Coza « simplifier grandement l’automatisation de la sécurité et de la conformité dans le Cloud Hybride ». Car c’est bien dans ce but que VMware a fait l’acquisition : PacketSentry Virtual Probe est censée v

enir renforcer la partie vShield  App, dont la version 5 vient d’être rendue disponible. vShield App 5 inclut une option, vShield App with Data Security (vSDS), sorte de système de détection d’intrusion pour machines virtuelles, qui analyse le trafic en continu, de manière transparente, entre les machines virtuelles. Si cette option permet la mise en pl  ace de règles de sécurité et de conformité (comme PCI DSS, HIPAA...), elle ne se préoccupait pas des utilisateurs. «On avait le quoi et le comment (les données sensibles et leur localisation), désormais, on a aussi le qui  (qui accède à ces informations), a résumé Dean Coza. Selon lui, la combinaison de vShield PacketSentry Virtual Probe permettrait donc aussi aux clients de mettre en place des règles de sécurité et de conformité, en fonction des besoins métiers, selon le niveau de sécurité requis : certains services auraient donc accès aux vApps et d’autres non. Un pas vers la sécurité «sensible au contexte» En somme, VMware peut, grace à cette acquisition, adopter une approche b  eaucoup plus conforme aux attentes actuelles en mati ère de sécurité. Neil Mac Donald, analyste au Gartner, écrivait il y a un an dans un de ses rapports, qu

e « la sécurité des infrastructu  res ne doit plus être statique, mais doit avoir une grande capacité d’adaptation, en fonction du contexte». Il doit donc être possible de savoir qui est la personne qui tente d’accéder, quel e  st son rôle dans l’organisation, et où elle se situe au moment où elle requiert une information. Les systèmes de sécurité doivent donc pouvoir fournir ces informations dans différents contextes, selon l’environnement de l’utilisateur, son profil et le ter  minal qu’il utilise. Avec PacketMotion, VM ware pourrait donc bien faire mouche en matière de sécurité moderne. A LIRE AUSSI Le PDF détaillant le fonctionnement de la sonde PacketSentry Virtual Probe. Avis d'expert - Selon une étude de Compuware, les utilisateurs de mobiles sont de plus en plus exigeants en termes d'expérience Web. Malgré l'essor des smartphones (dotés de navigateurs puissants) et des réseaux haut débit mobile, l'usage du Web à partir d'un terminal sans fil semble encore déceptive, selon les conclusions d'une étude de Compuware qui a sondé 4000 mobinautes dans le monde. Conséquences 57% des personnes interrogées indiquent avoir eu des problèmes pour accéder au Web depuis leurs

terminaux durant les 12 derniers mois. Ce  taux tombe à 47% lorsque cet accès se fait depuis une application. Il faut dire que les exigences en termes d'ergonomie sont élevées. 7 mobinautes sur 10 estiment qu'un site Web mobile doit s'afficher aussi vite que sur le Web fixe, un chiffre en hausse de 58 % par rapport à 2009. Pire, près de 60 % des internautes s'attendent à ce qu'un site web se charge sur leur téléphone mobile en trois secondes maximum, Et 7  4% quittent une page après 5 secondes d'attente... Pas  de pitié donc pour les sites mal optimisés pour les appareils mobiles ! Compuware estime néanmoins que 77% des sites des grandes entreprises s'ouvrent en moins de 5 secondes sur un mobile. Pour les autres, les conséquences peuvent être lourdes. Ainsi, 57% des utilisateurs ne recommanderont pas un site mobile qui met plus de 5 secondes à s'afficher et 43% éviteront d'y retourner. Un tiers d'ent  re eux se rendent alors sur un site concurrent. "Cette enquête  fait suite à celle de 2009. Près de deux ans plus tard, les atte

ntes des utilisateurs mobiles sont d  e plus en plus fortes, mais les entreprises ne répondent toujours pas aux besoins d'une navigation rapide et fiable, exprimés par les utilisateurs mobiles ", a déclaré Steve Tack, CTO de Compuware. Cloudforce 2011 n’a même pas encore ouvert ses portes que les rumeurs fusent déjà. Après Assistly la semaine dernière, c’est au tour de Najavo Systems, une start-up israélienne spécialisée dans chiffrement des données, de faire le buzz. Il semblerait en effet que Salesforce vienne de f  aire l’acquisition de cette société, même si cette acquisition n’est pas  -encore- confirmée du côté américain (on notera toutefois que la homepage de Navajo Systems laisse entendre qu’il va y avoir des changements...). Cette acquisition, si bien sur elle se confirme, pourrait ajouter une pièce supplémentaire au catalogue de service, déjà consistant, de Salesforce. Au delà de la brique supplémentaire que pourrait représenter techniquement Navajo Systems dans l'offre SaaS de l’  éditeur, cette acquisition aurait aussi un avantage c  ommercial important puisque la protection des données dans le Cloud reste indéniablement une priorité absolue pour les entreprises...Application - Cette app

lication pré-installée compatib  le avec Bada et Android devrait également être portée sur iOS (iPhone) voire BlackBerry. Déjà très en forme sur le marché des smartphones avec la famille Galaxy, Samsung pourrait encore renforcer l'attractivité de ses terminaux avec le lancement d'une application universelle et gratuite de messagerie instantanée. Cet outil, baptisé ChatON, devrait être présenté lors de l'IFA de Berlin qui ouv  re ses portes cette semaine. Il sera disponible dans 120 pays e  t traduit en 62 langues. La chose n'est pas nouvelle : RIM propose déjà BlackBerry Messenger qui permet de chatter gratuitement entre utilisateurs tandis que des éditeurs proposent des applications similaires (comme What's App Me  ssenger) pour unifier les discussions entre utilisateurs d'OS mobiles. Windows Phone oublié ? Mais Samsung entend se différencier en couvrant tout le spectre des systèmes d'exploitation. Dans un  premier temps, ChatON, pré-installé dans les nouveaux smartphones du sud-coréen, sera compatible avec Bada et Android. Il

sera ainsi possible de dis  cuter en Wi-Fi ou en 3G entre utilisat  eurs (ou groupes) des deux systèmes. On pourra également échanger des fichiers multimédia, envoyer des messages animés, activer des conversations de groupe, ou encore rédiger des messages de façon tactile. Mais le service devrait être également adapté à iOS (iPhone), de quoi donner un sérieux argument aux terminaux Samsung au moment où Apple va déployer son prop  re service appelé iMessage. Il se murmure également  que ChatON sera compatible avec l'Instant Messaging de BlackBerry, ce qui limiterait mécaniquement l'attractivité des terminaux du canadien auprès des jeunes. Par contre, Windows Phone semble exclu de la liste alors que Samsung est partenaire de Microsoft pour son nouvel OS mobile. Enfin, une version Web est également prévue...

e nouvelle génération. Sécurité -  Confirmé par Orange, l'attaque aurait permis de récupérer des informations personnelles concernant les clients de l'opérateur. Fin de semaine compliquée pour Orange dont la boutique en ligne elecachat.fr a été piratée. Annoncé ce vendredi par un hacker français, l'attaque a été confirmée ce lundi par l'opérateur. Des données personnelles des clients ayant effectué des achats en ligne auraient été détournées. Par ailleurs, l  es identifiants et mots de passe d'un des administ  rateurs du site auraient été récupérés. Une faille SQL dans le site aurait permis au hacker de mener à bien son infiltration.. Motivations confuses Interrogé par le webzine spécialisé Zataz, HiddenTapz c'est son nom, menace de publier les données détournées si Orange n'accède pas à une mystérieuse demande. Il tente également de justifier son acte. "J'ai pris une décision, me mettre du côté du peuple. Un peuple de plus en plus opprimé, comme le mien. J'ai aidé des Allemands, des  Espagnols, des Russes, maintenant je vais aider les Français face à leur gouvernement.", affirme-t-il. Des motivations difficiles à cerner donc. Du côté d'Orange, après avoir fermé le

site pendant le week-end (il est  désormais accessible), on mène l'enquête afin d'évaluer les "éventuelles conséquences" de cette "intrusion informatique". Avis d'expert - Selon une étude de Compuware, les utilisateurs de mobiles sont de plus en plus exigeants en termes d'expérience Web. Malgré l'essor des smartphones (dotés de navigateurs puissants) et des réseaux haut débit mobile, l'usage du Web à partir d'un terminal sans fil semble encore déceptive, selon les conclusions d'une étude de Compu  ware qui a sondé 4000 mobinautes dans le monde. Conséquences 57% des  personnes interrogées indiquent avoir eu des problèmes pour accéder au Web depuis leurs terminaux durant les 12 derniers mois. Ce taux tombe à 47% lorsque cet accès se fait depuis une application. Il faut dire que les exigences en termes d'ergonomie sont élevées. 7 mobinautes sur 10 estiment qu'un site Web mobile doit s'afficher aussi vite que sur le Web fixe, un chiffre en hausse de 58 % par rapport à 2009. Pire, près de 60  % des internautes s'atten

dent à ce qu'un site web se charge sur leur téléphone mobile en trois seconde s maximum, Et 74% quittent une page après 5 secondes d'  attente... Pas de pitié donc pour les sites mal optimisés pour les appareils mobiles ! Compuware estime néanmoins que 77% des sites des grandes entreprises s'ouvrent en moins de 5 secondes sur un mobile. Pour les autres, les conséquences peuvent être lourdes. Ainsi, 57% des utilisateurs ne recommanderont pas un site mobile qui met plus  de 5 secondes à s'afficher et 43% éviteront d'y retourner. Un tiers d'entre eux se rendent alors sur un site concurrent. "Cette enquête fait suite à celle de 2009. Près de deux ans plus tard, les attentes des utilisateu  rs mobiles sont de plus en plus fortes, mais les entreprises ne répondent toujours pas aux besoins d'une navigation rapide et fiable, exprimés par les utilisateurs mobiles ", a déclaré Steve Tack, CTO de Compuware. Cloudforce 2011 n’a même pas encore ouvert ses portes que les rumeurs fusent déjà. Après Assistly la semaine dernière, c’est au tou r de Najavo Systems, une start-up israélienne spécialisée dans chiffrement des don  nées, de faire le buzz. Il semblerait en effet que Salesforce vienne

de faire l’acquisition de cette société, même si cette acquisition n’est pas -encore- confirm  ée du côté américain (on notera toutefois que la homepage de Navajo Systems laisse entendre qu’il va y avoir des changements...). Cette acquisition, si bien sur elle se confirme, pourrait ajouter une pièce supplémentaire  au catalogue de service, déjà consistant, de Sales force. Au delà de la brique supplémentaire que pourrait représenter techniquement Navajo Systems dans l'offre SaaS de l’éditeur, cette acquisition aurait aussi un avantage commercial important puisque la protection des données dans le Cloud reste indéniablement une priorité abso  lue pour les entreprises... 15

En déplacement en Ecosse pour un festival britanniqu  e, le MediaGuardian Edinburgh International TV Festival, Eric Schmidt a assuré que le service Google TV ferait ses débuts en Europe dès le début de l’année prochaine. Google TV veut être dans la TV l'équivalent d'Android dans le mobile « Nous cherchons à soutenir l’industrie du contenu en fournissant une plate-forme ouverte pour perm  ettre à la nouvelle génératio  n de TV d’évoluer, de la même façon qu  ’Android est une plate-forme ouverte pour la nouvelle génération de mobile » a déclaré le dirigeant de Google. Il a également cité le Royaume-Uni comme une des priorités du groupe en Europe. Pour un calendrier de lancement plus étoffé, il faudra néanmoins patienter… Eric Schmidt s’en est en effet tenu à un discours général. Faire des prévisions s’avère complexe pour le géant américain. Aux Etats-Unis, où Google TV a été lancé fin 2010, les relations demeurent tendues avec l  es diffuseurs. Plusieurs grands networks ont ainsi adopté une position radicale à l’é

gard de Google TV en bloquant l’accès à leurs contenus. Relations apaisées avec les diffuse  urs ? En France, plusieurs rendez-vous entre les acteurs de la télévision, et la signature d’une charte dès 2010, illustrent les difficultés pour Google à s’insérer dans la chaîne de valeur. « Nous voulons  maîtriser les contenus qui s'afficheront en surimpression autour de nos chaînes », avertissait déjà lors du DigiWorld Summit 2010 de l'Idate Laurent Souloumiac de France Télévisions Interactive  . « Il s'agit de développer des services adaptés qui respectent nos contenus. » « Nous ne savons pas encore ce que nous allons faire en Europe. Mais ce que nous savons c'est que la télévision n'est pas la propriété des opérateurs ou des diffuseurs. Elle est la propriété du consommateur. A lui de décider » s’agaçait en retour Carlo d'Asaro Biondo, vice-président EMEA de Google. En 2011, le patron de la filiale française de Google adoptait une approche plus conciliant  e. Interrogé sur BFM en mars dernier, Jean-Marc Tassetto reco

nnaissait que « la marque Google TV est peut-être un peu troubla  nte pour certains acteurs et médias » et que « les chaînes télé se posent légitimement des questions. » Symbian n'est pas mort, il bouge encore. Malgré l'accord entre Microsoft et Nokia autour de Windows Phone, le numéro un mondial du mobile poursuit le développement de Symbian avec une nouvelle version majeure baptisée Belle. Il s'agit en fait d'assurer la transition avec Windows Pho  ne qui équipera la plupart des terminaux  de Nokia d'ici un ou deux ans. Mais le finlandais n'entend pas seulement occuper le terrain avec cette nouvelle mouture. Belle fait un pas important en matière d'ergonomie apporte aussi la prise en charge de la technologie NFC qui va permettre d'apparier des périphériques (comme les  oreillettes) mais aussi de partager du contenu (  images, vidéo, contacts) avec un autr

 

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